Italiani: egli risorse a Natale

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  • ma_75
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    Se non avete ancora imparato il francese è ora di farlo

    Ahi ahi Mara e MariaStella

    Jusqu'où ira l'affaire Berlusconi ?
    Sexe, pouvoir et mensonges


    Liaison trouble avec une mineure ou une escort girl, enregistrements torrides ou photos très compromettantes... Mais ce scandale sexuel pourrait en cacher un autre bien plus grave. Serge Raffy raconte comment l'appétence maladive du Cavalière pour les bimbos pourrait l'avoir entraîné dans un réseau où se mêlent drogue, corruption et mafia russe

    Antonello Zappadu«Je ne suis pas un paparazzo, mais un journaliste qui veut montrer la vie indécente du chef du gouvernement», dit Antonello Zappadu, qui affirme détenir près de 5 000 clichés compromettants de la villa sarde du Cavalière. Plusieurs centaines de ces photos - interdites de publication en Italie - ont été saisies par la justice italienne, sur requête de Berlusconi. Zappadu, lui, est poursuivi pour violation de la vie privée.

    De notre envoyé spécial à Rome


    Cette fois, c'est trop. Elle a fini par craquer. Depuis des années, elle avait tout enduré dans sa prison dorée de la villa Belvédère, une maison de maître du XVIe siècle que son mari lui avait offerte, dans la région de Milan. Les maîtresses quasi officielles, les fiestas avec nymphettes, les coucheries avec les «véline», ces pom-pom girls du petit écran prêtes à satisfaire tous les caprices du prince. Elle en avait pris son parti, tentant de protéger ses trois enfants des «maléfices» de l'Ogre. L'an dernier, elle avait renâclé à la nomination au gouvernement de plusieurs starlettes de la télé berlusconienne, toutes amantes supposées du Cavalière. A ses proches, elle avouait qu'elle était désespérée de voir son pays transformé en foire aux plaisirs, dans laquelle la libido du maître vieillissant se lâchait sans retenue. Elle avait critiqué du bout des lèvres ce népotisme sexuel affiché sans vergogne. Et son enjôleur de mari, métamorphosé en Caligula érotomane.
    Pauvre Italie, terre de Dante et de Michel-Ange, devenue Berluscoland, abandonnée à un don Juan pathétique, courant frénétiquement derrière son éternelle jeunesse, à coups d'injections pelviennes, d'implants capillaires, d'opérations de chirurgie esthétique, de séances de maquillage. Avec cet éternel sourire Ultrabrite, comme un masque de Scaramouche. Un Michael Jackson parachuté dans un théâtre de la commedia dell'arte. Silvio le cavaleur, puisant dans les «books» de filles de son empire télévisuel la chair fraîche utile à ses bacchanales, tout en soignant son coeur équipé d'un pacemaker et son cancer de la prostate. «Il birichino», le polisson, c'est le surnom que lui donnent les Italiens, à peine choqués par ses frasques.
    Ce 26 avril, pour Veronica Lario, le père de ses enfants commet pourtant la faute suprême. Alors que sa fille Barbara, enceinte de sept mois, est hospitalisée en urgence, il oublie d'aller lui rendre visite et préfère passer plusieurs heures à l'anniversaire d'une gamine, à Casario, dans la banlieue de Naples. Ce n'est plus du mauvais goût ou de la goujaterie, c'est de la provocation. La demoiselle, Noemi Letizia, fête ses 18 ans dans un restaurant populaire. Motif officiel de la présence de Berlusconi : il a un amour immodéré pour cette famille modeste «si italienne». Le Premier ministre, que Noemi surnomme «Papi», papounet, prétend suivre l'adolescente depuis ses 14 ans. Sa mère rêve d'en faire une actrice. Les yeux fermés, elle l'a confiée à Silvio l'imprésario, l'homme qui fait et défait les carrières des bimbos cathodiques.
    Ce que ne dit pas le Premier ministre, c'est que le père de Letizia, Elio, est un joueur invétéré et qu'il a des dettes avec la Camorra, la mafia napolitaine. Tonton Silvio paie rubis sur l'ongle. Pourquoi une telle générosité ? La réponse tient en seul mot : Noemi. Chaque fois que Berlusconi a un moment de libre, il l'invite dans un de ses palais, en Sardaigne, à Villa Certosa, ou à Rome, au Palazzo Grazioli. Quand, le 28 avril, le quotidien de gauche «la Repubblica» révèle l'anniversaire insolite, Veronica Berlusconi, explose. Elle annonce son intention de divorcer, parle de la «maladie» de son mari (voir l'article de Marcelle Padovani dans «l'Obs»du 11 juin), demande à ses amis politiques de le «soigner», montre du doigt ces familles qui «offrent des vierges au dragon». En déterrant la hache de guerre conjugale, Veronica ouvre une boîte de Pandore pleine de sexe et de mensonges. En comparaison, le scandale Clinton-Lewinsky n'est qu'une bluette de collégien. Dès lors, les révélations se multiplient.

    Noemi nouvelle first lady ?
    La dernière semaine de mai, «la Repubblica», en pointe sur ce dossier, sort une information qui sème la panique dans la garde rapprochée du président du Conseil : en novembre 2008, au cours d'une réception organisée en présence de plusieurs grands de la mode, Silvio Berlusconi a presque désigné Noemi comme la nouvelle first lady. Les convives, gênés, ont cru à une facétie du «fanfaron». Une de plus. Mais quand paraît l'article de «la Repubblica», les avocats de «Papi», eux, perçoivent immédiatement le danger. «Le Boss» risque d'être accusé de détournement de mineure. Le scandale suprême. D'autant que deux jours après les révélations du quotidien le fiancé de Noemi, un jeune ouvrier de 22 ans, lâche, vengeur, que son «ex» a passé les fêtes du Jour de l'An dans la résidence de Sardaigne, Villa Certosa. Encore mineure, elle était accompagnée d'une copine, Roberta, elle aussi mineure, et de nombreuses filles à la réputation plus que légère, dont certaines ont été choisies par Berlusconi pour figurer sur les listes électorales du parti le Peuple de la Liberté aux élections européennes. En catastrophe, Berlusconi fait retirer les «filles» des listes. Les showgirls rentrent dans l'ombre. L'une d'entre elles le prend très mal.
    Elle s'appelle Patrizia DAddario. Une blonde voluptueuse de 42 ans. Escort girl de luxe, elle a couché avec Berlusconi au Palazzo Grazioli, son domicile personnel, à Rome. L'homme qui lui a présenté le chef du gouvernement italien est un entrepreneur des Pouilles spécialisé dans la fabrication des prothèses. Gianpaolo Tarantini, play-boy de 34 ans, a rencontré son ami Silvio lors de fiestas en Sardaigne deux ans plus tôt. Depuis, il le fournit régulièrement en «accompagnatrices». Tarantini est aussi poursuivi par la justice de Bari pour une affaire de corruption dans le milieu de la santé. Il semble intéresser les juges pour sa présence dans de nombreuses sociétés basées au Luxembourg, à Londres et à Moscou.
    Quand elle apprend son éviction de la liste des européennes, Patrizia D'Addario fulmine. Mais celui qu'elle appelle «Trésor» ne répond plus à ses appels. Le fanfaron l'a humiliée. Sa vengeance sera terrible. Car la routière de l'amour tarifé, très précautionneuse, a enregistré sa nuit avec lui, jusqu'au moindre détail. Elle a aussi gravé sur bandes magnétiques toutes leurs conversations téléphoniques. Edifiant. Matinée du 5 novembre : «Patrizia : Qu'est-ce que tu m'as fait mal, au début, une douleur incroyable ! Silvio : Arrête, c est pas vrai. Patrizia : Si, je te jure, une douleur incroyable au début.» Plus tard : «Patrizia : Un jeune aurait joui en une seconde. Tu sais, Userait venu... ils ont trop de pression... Silvio : Si je peux me permettre, selon moi, le problème vient de la famille... Patrizia : Quel problème ? Silvio : Déclencher l'orgasme. Patrizia : Tu sais depuis combien de temps je n'ai pas fait l'amour avec quelqu'un comme je l'ai fait cette nuit ? C'est normal ? Silvio : Si je peux me permettre, tu devrais essayer de jouir toute seule, aussi. Tu devrais te caresser plus souvent...»

    Risque de chantage
    C'est le genre de douceur que l'escort girl éconduite a livré à la presse. Seuls «la Repubblica» et «l'Espresso» publient le contenu des rapports torrides du chef de l'Etat et de la putain. Dans la foulée, ils multiplient les révélations sur les «bacchanales» de la Villa Certosa, où l'on voit de très jeunes filles jouer les geishas auprès de messieurs d'âge avancé. «El Pais» publie à son tour une série de clichés où l'on découvre l'ancien Premier ministre tchèque, Mirek Topolanek, dans le plus simple appareil au côté de vestales aux seins nus ! Le paparrazo à l'origine du scandale, Antonello Zappadu, a des informateurs de l'aéroport d'Olbia jusqu'aux employés de la Villa Certosa. Ce pro du téléobjectif prétend avoir pris plus de 5 000 photos des «parties» de tonton Silvio. De quoi mouiller une armée de ministres mais aussi de VIP étrangères, tous persuadés que la propriété du président du Conseil, sous surveillance des services secrets, considérée comme une zone militaire, était bien protégée. Aujourd'hui, Zappadu assure avoir mis tous ces documents à l'abri dans un coffre en Colombie. «Es n'ont aucune valeur juridique, assène Niccolo Ghedini, l'avocat du Cavalière et député du PDL. Tout ce qui relève de la vie privée ne peut être utilisé en justice.» Sauf si ces photos sont utiles à une enquête pénale. Malchance pour Berlusconi, c'est le cas.
    A Bari, en effet, les magistrats qui suivent l'affaire Tarantini - l'entrepreneur est suspecté d'avoir organisé un vaste réseau de corruption de fonctionnaires de l'administration de la santé, mais aussi d'hommes politiques, jusqu'au plus haut niveau de l'Etat - saisissent tout ce qui touche à ses activités. Ils ne peuvent pas faire l'impasse sur son rôle de pourvoyeur en dames de compagnie et accumulent enregistrements, photos, témoignages, tous plus explosifs les uns que les autres. Ils détiennent en particulier une photo prise Villa Certosa où l'on voit deux jeunes filles en train de sniffer des lignes de cocaïne devant un Berlusconi hilare.
    Aujourd'hui, l'homme qui a échappé à près d'une vingtaine d'enquêtes judiciaires sent le vent du boulet et tente d'étouffer le scandale. La presse, écrite et télévisée, est soumise à une omerta invraisemblable dans une démocratie moderne. Seuls l'hebdomadaire «Famiglia Cristiana» et le quotidien catholique «Awenire» relaient «la Repubblica» : car dans les paroisses la colère gronde, des évêques proches du pape font savoir que le débauché poussait un peu loin son copinage avec le Diable. Et si le Vatican abandonnait celui qu'il a considéré jusqu'ici comme son allié ? C'est la seule vraie crainte de Berlusconi. «En attendant, l'opinion publique italienne ne connaît toujours pas cette affaire, s'insurge Ezio Mauro, directeur de «la Repubblica». Pas un mot à la télévision. Berlusconi contrôle tout, les médias, le Parlement, l'Etat. Son affaire avec la D'Addario est pourtant un signe de grande faiblesse, car il aurait pu être la victime du chantage d'un groupe ou d'une organisation étrangers. Cette femme a pénétré chez lui et l'a enregistré sans que les services de sécurité s'en aperçoivent. Elle aurait pu être armée, aussi...» A mots couverts, le petit îlot de presse indépendante qui résiste en Italie tente de faire passer un message : Berlusconi l'invincible est devenu terriblement vulnérable. Il pourrait bien être tombé entre les mains d'une mafia venue de l'Est. Son appétence maladive pour les pin-up l'aurait entraîné dans les filets d'un réseau aux intérêts troubles.
    Dans les rédactions romaines circule en ce moment un enregistrement qui risque d'alimenter un peu plus le scandale. Deux des ministres «bimbos» de Berlusconi, anciennes candidates Miss Italie, Mara Carfagna, ministre de l'Egalité des Chances, et Mariastella Gelmini, ministre de l'Education nationale, s'interrogent mutuellement pour savoir comment «satisfaire» au mieux le Premier ministre. Elles évoquent les piqûres qu'il doit se faire administrer avant chaque rapport. Si cet «audio» sortait dans la presse, malgré la censure, il serait dévastateur pour l'image du Cavalière. Mara Carfagna, maîtresse quasi officielle, ces dernières années, avait poursuivi en justice Sabina Guzzanti, actrice et chroniqueuse télé, parce qu'elle avait osé déclarer : «On n'a pas le droit de nommer une femme ministre de l'Egalité des Chances pour la simple raison qu'elle vous a taillé une pipe.» Son père, Paolo Guzzanti, sénateur berlusconien, avait été sanctionné par «le Boss» pour ne pas avoir blâmé sa fille : on lui avait supprimé ses gardes du corps. «Mais si j'ai dû démissionner du parti, précise Guzzanti, c'est aussi parce que j'étais en désaccord avec la dérive prorusse de Berlusconi dans l'affaire géorgienne. J'avais trouvé sa position anormale.»

    La piste de la cocaïne
    Au fil des révélations, l'hypothèse d'une infiltration de la mafia russe au sommet de l'Etat italien prend de la consistance. «Dans les fêtes de Villa Certosa, Tarantini faisait venir des bateaux entiers de filles de l'Est, des Russes et des Ukrainiennes, souligne un policier anti-mafia. Avec elles, il y a la drogue, bien sûr. Ce sont les mêmes filières...» A Bari, dans la plus grande discrétion, le procureur Giuseppe Scelsi creuse cette piste de la cocaïne. Son équipe a interrogé une vingtaine de filles, dont une certaine Sabina Beganovic, surnommée «la reine des abeilles». Elle sert de rabarteuse de filles à Gianpaolo Tarantini et elle est une des chouchous de «Papi». Sabina s'est fait tatouer sur la cheville : «SB., la rencontre qui a changé ma vie». Habituée de la Villa Certosa, elle a vu défiler ministres, journalistes et hommes d'affaires dans ce bunker de luxe, avec piscines, lac et volcan artificiel, amphithéâtre grec, dans lequel Berlusconi chante ses romances ou donne des cours de géostratégie aux lolitas en extase. Elle connaît par coeur les rituels du lieu. Les consignes de silence imposées aux filles, les cadeaux, toujours les mêmes, faits par le sultan à son harem, des bijoux qu'il prétend avoir dessinés lui-même, bracelets en forme de tortue ou de papillon. Pour les plus gentilles, des sorties dans les magasins de luxe de Porto Rotondo sont organisées, avec achats plafonnés à 5 000 euros.
    La «reine des abeilles», qui était à la Villa Certosa au même moment que la jeune Noemi Letizia, a beaucoup parlé aux magistrats. La fille venue de l'Est a-t-elle évoqué les voyages de Tarantini à Moscou, où il est consultant d'une société, Fisiokom, géant de la fourniture hospitalière ? Les juges jouent une partie difficile. Ils savent qu'ils sont surveillés par la cohorte d'avocats de Berlusconi, l'homme le plus puissant et le plus riche d'Italie. Ils ne doivent pas commettre la moindre erreur. Car, désormais, la confrontation est inévitable. Un jour ou l'autre, ils se retrouveront face à celui qui nargue la justice depuis près de quarante ans.
    Dans cette bataille, Berlusconi - qui vient d'entamer une «diète» estivale et une cure «antistress» - a perdu un atout précieux : son ami et médecin personnel, Umberto Scapagnini. Ce spécialiste de la longévité, qui prédisait cent vingt ans de vie à «l'Imperator» et prétendait qu'il avait le métabolisme d'un homme de 35 ans, vient d'être victime d'une rupture d'ané- vrisme. Il est dans le coma. Qui, désormais, veillera au régime alimentaire de «Papi», à base d'antioxydants et d'acides aminés ?
    In un sistema finito, con un tempo infinito, ogni combinazione può ripetersi infinite volte.
    ma_75@bodyweb.com

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    • Fabrizio Corona
      Banned
      • Apr 2009
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      Originariamente Scritto da Sean Visualizza Messaggio
      In tutto il Paese non c'è nessuno che abbia il coraggio di affondare il bisturi su questa cancrena, tutto tace.
      Ma non hai ancora capito che il Signor B. ha il controllo totale sul paese Italia?
      é il premier, controlla la magistratura a suon di mazzette, controlla le tv, controlla i giornali, ha collusioni mafiose.
      "Tollera" una cerchia ristretta di detrattori (che potrebbe mettere a tacere in qualsiasi momento ma non lo fa) in modo da apparire sempre fintamente "vulnerabile", in realtà il suo potere e non di meno inferiore a quello di Mussolini.
      Le poltrone che contano in Italia sono tutte occupate da suoi Amici, a partire dal presidente della repubblica, arrivando all'assessore comunale mignotta a cui l'ha messo in quel posto prima di dargli il contentino.
      Sono tutti al suo servizio.

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      • Liam & Me
        Bad Blake
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        Siamo a livelli di macchietta





        Una fonte del governo turco rivela il retroscena della firma dell'accordo South Stream
        "Il premier ha chiamato: voleva partecipare alla cerimonia. Putin e Erdogan hanno sorriso"


        Berlusconi "eroe" del gasdotto?
        La "sorpresa" della Turchia


        Erdogan, Putin e Berlusconi ad Ankara



        ISTANBUL - Quando il presidente del consiglio italiano Silvio Berlusconi ha definito come "un grande successo della diplomazia italiana" l'accordo siglato ieri tra Turchia e Russia sul gasdotto South Stream, il governo di Ankara si è stupito non poco. Lo rivela una fonte del governo Erdogan alla Reuters, che oggi riporta la ricostruzione della bizzarra "intrusione" di Berlusconi nella cerimonia della firma.

        Gli accordi tra Mosca e Ankara per far passare il gas russo attraverso le acque turche del Mar Nero fino all'Europa erano "già stati conclusi - racconta la fonte alla Reuters - quando il governo turco ha ricevuto un'inaspettata richiesta dell'ultimo minuto da parte di Berlusconi che voleva partecipare alla cerimonia della firma" del premier russo Vladimir Putin e di quello turco Tayyip Erdogan, ad Ankara. La fonte aggiunge che si è creata una "certa sorpresa" quando ci si è resi conto che Berlusconi voleva rivendicare l'accordo come un suo successo personale.

        "E' il tipo di cosa che può causare un problema diplomatico - dice ancora la fonte turca - Ma siccome si trattava di Berlusconi, ha solo fatto sorridere i due leader". La Reuters cita anche il sito del governo italiano che riporta la dichiarazione secondo cui il progetto South Stream è "un successo personale del primo ministro italiano". Per i turchi, una vera "esagerazione".


        (7 agosto 2009)
        B & B with a little weed










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        • Sam Fisher
          Bodyweb Advanced
          • Jan 2006
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          • Ministero della Pubblica Istruzione
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          Bene Silvio mettiamoci contro pure la Turchia e la Russia.....maledetto.
          Pillola rossa o pillola blu ????

          La risposta è dentro te.

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          • ma_75
            Super Moderator
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            Originariamente Scritto da Sam Fisher Visualizza Messaggio
            Bene Silvio mettiamoci contro pure la Turchia e la Russia.....maledetto.
            Che l'estero rida pure di noi, tanto in Italia, grazie alla stampa libera, nessuno lo saprà mai.
            In un sistema finito, con un tempo infinito, ogni combinazione può ripetersi infinite volte.
            ma_75@bodyweb.com

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            • Liam & Me
              Bad Blake
              • Dec 2006
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              No, come se per un accordo strategico di quella portata tra due stati sovrani si debba chiamare il nano ad Arcore..

              Poi al momento di fare la cerimonia finale Silvio si autoinvita e in Italia (su siti istituzionali che ittio lo maledica) racconta che l'accordo l'ha organizzato lui.

              Poi "trattandosi di Berlusconi Putin e erdogan l'hanno presa in ridere", come si fa col matto del paese che ti ferma per raccontarti il frutto dei suoi vaneggiamenti.
              B & B with a little weed










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              • ikuape86
                L' oristanese pizzaiolo
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                • Oristano
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                stiamo divendando la barzelletta del mondo

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                • _Jamez_
                  Pappagani user
                  • Mar 2007
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                  Ma l'avete sentito il nuovo attacco al giornalista di rai3 e conseguente "sparata" dove fa la lezioncina dicendo che la rete pubblica non può criticare il governo?
                  E' fuori di testa,c'è poco da dire!

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                  • ikuape86
                    L' oristanese pizzaiolo
                    • Feb 2005
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                    L'avvocato Carlo Taromina deputato del Pdl (Ansa)

                    Politica


                    Caso Cicchitto, Taormina rivela: "Berlusconi sapeva tutto"


                    "Il fenomeno è totalmente vero: si parlava di milioni di euro, confermo che si parla di milioni di euro". Così l'avvocato Carlo Taormina, intervistato da Radio Radicale sull'inchiesta abruzzese e le rivelazioni del settimanale L'Espresso circa tangenti e candidature pagate nel Pdl.
                    Interrogato - "Sono stato ascoltato lo scorso anno dalla Procura di Pescara perché era emersa la notizia che io fossi in possesso di un dossier nel quale si facevano i conti delle tangenti pagate nella Regione: quella notizia era ed è vera. Conservo gelosamente il dossier - continua Taormina - ma non nel mio studio, per cui se come al solito accade, qualche servizio segreto lo cerca questa volta rimarrebbe deluso: il dossier è fatto di cifre, di nomi, di cognomi, politici e non politici. Parlando del fatto piuttosto che delle persone, dico che tutti i fatti - non so se a Cicchitto siano andati o no dei soldi, e con questo chiarisco che non voglio dire che insinuo che a lui siano andati - il fenomeno è totalmente vero. Si parlava di milioni di euro, confermo che si parla di milioni di euro", ha aggiunto Taormina.
                    Berlusconi sapeva? - "Al di là di Cicchitto le notizie pubblicate da L'Espresso sono perfettamente corrispondenti a verità", ha continuato Taormina: "Aggiungo che di queste cose, dal punto di vista della loro oggettività, io quando ne venni a conoscenza parlai con precisione all'attuale presidente del Consiglio Berlusconi, che dunque era a conoscenza delle situazione ambigue e anomale che si stavano da tempo gestendo in Abruzzo tra 'Neve Azzurra' e quant'altro", ha concluso Taormina.

                    07 agosto 2009

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                    • ikuape86
                      L' oristanese pizzaiolo
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                      Quindici milioni cash di "buona entrata” più tre milioni annui a Vittorio Feltri per dirigere il Giornale e cinque a Belpietro per la direzione di Libero. Sarebbero questi i compensi da nababbi offerti a questi famosi direttori di giornale. La Fnsi (sindacato dei giornalisti) è insorta parlando di “scelta cinica e indecorosa” e di “cifre esorbitanti, incredibili, illogiche”. Alla base della presa di posizione il timore che ciò metta in discussione la libertà di stampa (e l’indipendenza degli interessati) in un periodo in cui gli editori (anche quelli del Giornale) dicono di essere in crisi e stanno licenziando

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                      • ma_75
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                        Tanti soldi, ma potersi guardare in faccia la mattina, senza provare disgusto per te stesso, non ha prezzo
                        In un sistema finito, con un tempo infinito, ogni combinazione può ripetersi infinite volte.
                        ma_75@bodyweb.com

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                        • ikuape86
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                          Originariamente Scritto da ma_75 Visualizza Messaggio
                          Tanti soldi, ma potersi guardare in faccia la mattina, senza provare disgusto per te stesso, non ha prezzo
                          a loro non interessa...sono privi di qualsivoglia morale

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                            Conferenza stampa prima delle vacanze:

                            «Non sono ricattabile da nessuno»

                            Berlusconi e la vita privata. Affondo sulla Rai: «Attacchi insopportabili». Sulla sicurezza: «Reati in calo»



                            MILANO - La situazione economica, i militari nelle città, la Rai e la vita privata. È un intervento agostano a tutto campo, durato quasi un'ora, quello di Silvio Berlusconi a Palazzo Chigi. Il premier tira le somme dei primi 14 mesi di legislatura («Credo che nessun governo ha mai fatto tanto») e pone l'accento sui dati Ocse. «L’Italia è la prima in Europa per segni di ripresa» e questa, sottolinea Berlusconi, «è una buona notizia che va nella direzione della fiducia che io insisto bisogna avere per uscire presto dalla crisi».



                            LA RAI E LA VITA PRIVATA - Non solo economia, però. La conferenza stampa dà modo al premier di esprimere pesanti critiche sulla Rai. «State bene? Che aria si respira in Rai con i direttori che ho fatto io....?», scherza sulle prime il premier. Poi l'affondo: «Non dobbiamo più sopportare, non possiamo più sopportare che sia l’unica tv pubblica del mondo che con i soldi di tutti attacca il governo» ha però poi precisato il premier. Lo spunto gli arriva da una domanda di una giornalista del Tg3: «Lei fa parte di una testata che ieri ha fatto 4 titoli tutti negativi contro il governo» è stata la presa di posizione del premier. «Non sono ricattabile da nessuno e non ho scheletri nell'armadio. Non devo scusarmi, neppure con i miei familiari, per la mia vita privata» spiega poi Berlusconi rispondendo a una domanda sull'intervista rilasciata dalla figlia Barbara a Vanity Fair. «Lei mi vuole un bene dell'anima» aggiunge. Il Cavaliere si toglie poi qualche sassolino dalla scarpa e precisa che quanto dichiarato da Paolo Guzzanti «è infondato e vergognoso: non ci sono mai state telefonate, né intercettazioni, come può dimostrare la magistratura, c’è solo la vergogna per chi mette in circolo certe cose. È grave e si deve vergognare chi le propaga a mezzo stampa» dice il premier. «I giornali continuano a dire che odio le donne - sottolinea poi il capo del governo -. Se c'è qualcosa che adoro sono le donne, anche ministre».



                            REAZIONI - Le dichiarazioni del premier sulla Rai fanno andare su tutte le furie il leader Idv Antonio Di Pietro. «Solo una faccia di bronzo come Berlusconi può pensare di mistificare così la realtà. Già controlla la quasi totalità dell'informazione privata, adesso ha messo le mani anche su quella pubblica» spiega l'ex pm. «Che tristezza vedere Berlusconi costretto a fare una conferenza stampa il 7 agosto per ricordarci i grandi successi del suo governo!». Così Anna Finocchiaro, presidente del gruppo PD al Senato commenta le parole del premier. «Sembrava una stanca e patetica replica di una commedia di avanspettacolo, un disco rotto sentito tante volte. Berlusconi è venuto a raccontarci nuovamente - prosegue la Finocchiaro - che il suo governo è il migliore, che va tutto bene, che ha garantito la pace sociale, che il suo esecutivo è apprezzato in tutto il mondo. Il tutto condito dai soliti attacchi all'informazione e dalla negazione di ogni responsabilità personale».


                            MILITARI NELLE CITTÀ - In conferenza stampa il presidente del Consiglio affronta anche la questione sicurezza, spiegando che il governo pensa, tra le altre cose, ad un notevole aumento del numero di militari impegnati nell'affiancamento delle forze dell'ordine nei centri urbani. Secondo Berlusconi, la mobilitazione dei militari nelle città «ha avuto un forte gradimento dai cittadini e ha portato ad una diminuzione del numero dei reati, soprattutto di quelli commessi per strada che sono i più pericolosi». Si inserisce a questo punto una critica all'opposizione che rispetto al pacchetto sicurezza «si è scatenata solo sulle ronde, definite ’fasciste’, e sul reato di clandestinità», mentre la legge «è piena di provvedimenti per i cittadini».


                            «RIFIUTI, EMERGENZA IN ALTRE REGIONI» - Berlusconi parla poi dell'emergenza rifiuti risolta in Campania e spiega che il termovalorizzatore di Acerra «è un prototipo importantissimo che potremo utilizzare quando tra poco ci saranno emergenze in altre regioni».



                            MEZZOGIORNO - A Palazzo Chigio il premier torna sulle polemiche che riguardano il Sud. «Non pensiamo ad una cassa per il mezzogiorno, ma ad un istituto snello» spiega, aprendo alla possibilità che nel nuovo Ente che sarà creato per il Sud siedano anche esponenti dell’opposizione.




                            TURCHIA - Quanto all'accordo sul super gasdotto siglata tra la Russia e la Turchia, Berlusconi smentisce quanto affermato da una fonte turca all’agenzia Reuters, e cioè di una sua "intrusione" indebita nella firma dell’accordo che è invece, torna a sottolineare il premier, «un grande successo italiano».



                            «SQUADRA FORTE» - A conti fatti, per Berlusconi, l'esecutivo «è forte» e «durerà per i prossimi quattro anni» e il premier si dice «arcisoddisfatto» della squadra di ministri. Tuttavia non nasconde che qualche piccola aggiunta, magari qualche sottosegretario in più, dopo le vacanze, verrà nominato. Un esempio? Il ministero senza portafoglio dei Rapporti per il Parlamento attualmente ricoperto da Elio Vito: «A volte Vito è ubiquo - scherza il premier - ha bisogno di un sottosegretario».



                            «Non sono ricattabile da nessuno» - Corriere della Sera

                            Berlusconi è in forma e spara parecchie barzellette, la più grossa delle quali è quella sulla RAI che lo attacca ().
                            ...ma di noi
                            sopra una sola teca di cristallo
                            popoli studiosi scriveranno
                            forse, tra mille inverni
                            «nessun vincolo univa questi morti
                            nella necropoli deserta»

                            C. Campo - Moriremo Lontani


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                            • ma_75
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                              L'ho visto in TV. Faccia tirata, poco sana. Speriamo.
                              In un sistema finito, con un tempo infinito, ogni combinazione può ripetersi infinite volte.
                              ma_75@bodyweb.com

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                              • ikuape86
                                L' oristanese pizzaiolo
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                                non è che non sia ricattabile..è che i ricatti non hanno alcun successo sia per colpa dell'opposizione che per colpa di un popolo che dorme da tanto,troppo tempo

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